Vous avez déjà pu lire la contribution de la CCB44 au synode dans notre lettre d’information du mois d’Avril.
Synthèse du Synode diocésain. Le texte vient de paraître et mis à la disposition de tous sur le site du diocèse de Nantes. 213 comptes-rendus et on peut estimer que 6100 personnes ont apporté leur contribution à cette démarche diocésaine.
Travail de qualité, qui n’élude pas les questions et pourrait amener des ouvertures, notamment en page 7 dans l’encadré des suggestions à discerner (management pour la gouvernance synodale avec consultation, dialogue, délégation, mandat etc…..- que l’Eglise s’organise davantage autour des communautés locales…(…) plutôt qu’autour de grosses paroisses définies à partir des curés – inventer des ministères institués pour des laïcs – souhait fortement exprimé par des personnes homosexuelles…)
Télécharger la synthèse sur le site du diocèse
Pour le moment on ne sait pas encore quelle sera la méthode de travail pour la suite. Notre évêque devrait faire une Lettre Pastorale au moment de la Toussaint.
Synthèse de la CCBF
Une moisson d’informations entièrement dédié à la première restitution CCBF des contributions reçues pour la démarche synodale
Accéder au Replay de la visioconférence sur YouTube du RDV CCBF# 6 du 11 juin 2022: cliquez ici : LIEN
Revoir en replay la restitution sur Youtube.
Collecte nationale des synthèses locales sur le Synode 2023 sur la synodalité
Retrouver cette synthèse sur le site de l’Eglise de France
Sylvaine Landrivon, docteur en théologie, entreprend de nous montrer comment les deux sœurs de Lazare, Marte et Marie sont des piliers de l’Eglise naissante. Marthe va au-devant de Jésus et fait une profession de foi aussi forte que Pierre disant « Seigneur, à qui irions-nous, tu as les paroles de la vie éternelle ». Quant à Marie, Sylvaine Landrivon nous propose de voir en elle la même que celle qui est dite Magdaléenne, mot signifiant solide dans la foi comme une forteresse.
Drôle de titre, toute la subtilité résidant dans le « nos » introductif (1). Le sous-titre est plus parlant : La fraternité, seule politique possible. Benoist de Sinety y égraine en sept chapitres les maux contemporains qui nous clivent, de l’individualisme de base aux mensonges du monde politique et aux fourvoiements de l’Église dans un repli identitaire, en passant par le dévoiement de la laïcité ou le mauvais usage de la Création. Ces thèmes sont abordés en croisant références et personnages bibliques (Jonas, Caïn, la Samaritaine et d’autres), et témoignages de rencontres marquantes de sa vie d’aumônier d’étudiants ou de prêtre en paroisse.